Auteur/autrice : Christel

Dimanche Autrement le 23 octobre

Christel

Catéchèse pour tous les âges et célébration, de 10h à 12h à l’église.

https://www.aelf.org/2022-10-22/romain/messe

Jésus disait encore cette parabole :
« Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne.
Il vint chercher du fruit sur ce figuier,
et n’en trouva pas.
Il dit alors à son vigneron :
“Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier,
et je n’en trouve pas.
Coupe-le.
À quoi bon le laisser épuiser le sol ?”
Mais le vigneron lui répondit :
“Maître, laisse-le encore cette année,
le temps que je bêche autour
pour y mettre du fumier.
Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir.
Sinon, tu le couperas.” »
Luc, 13 1-9

Rentrée pastorale de l’UP, dimanche 11 septembre 

Christel

Rencontre de rentrée pastorale, au Gildenhuis, Petite rue des Loups 57. Au programme : repas “auberge espagnole” (chacun apporte quelque chose à manger à partager, boissons offertes sur place), suivi d’une présentation des initiatives concrètes proposées pour renforcer la dynamique synodale de notre Eglise d’Anderlecht.

Une nouvelle année pastorale commence, sous le signe de la démarche synodale qui se poursuit : c’est tous ensemble que nous faisons route en Eglise, enracinés dans notre identité de baptisé(e). Nous verrons ensemble comment renforcer cette dynamique synodale pour notre Eglise d’Anderlecht, lors de la rencontre d’ouverture d’année pastorale, le dimanche 11 septembre à 12h30, au Gildenhuis, Petite rue des Loups 57.Au programme : repas « auberge espagnole » (chacun apporte quelque chose à partager, boissons offertes sur place), suivi d’un échange sur les 4 chantiers qui vont prolonger les rencontres de l’année passée. Ce premier échange sera poursuivi au cours des semaines suivantes par des reprises localement.

Dimanche Autrement le 25 septembre

Christel

Catéchèse pour tous les âges et célébration, de 10h à 12h à l’église. Nous lirons l’évangile du dimanche suivant que nous n’avons jamais eu l’occasion d’explorer en catéchèse.

« Si vous aviez de la foi gros comme une graine de moutarde vous auriez dit à l’arbre que voici,déracine-toi et va te planter dans la mer et il vous aurait obéi »

(Luc, 17, 5-10)

« Jésus parle de la foi comme de quelque chose qui peut être très petit, mais avoir une grande force de vie. Elle n’est pas comparée à une tête d’épingle ou un grain de sable, mais à une graine. Une graine, ça  pousse. Et cette graine amène à parler, à dire des choses qui semblent folles, mais qui parlent de vie : l’arbre ne se brise pas, ne s’abat pas : il se déracine. Et, même si c’est dans un milieu hostile, dans un milieu de mort, il se plante. Se planter, c’est s’enraciner à nouveau. « Chaque fois que je me plante, je pousse ! *» La parole qui vient de la foi, ce serait celle qui met de la vie là où il y a de la mort. Serait-ce une parole magique ? Foi, c’est de la même famille que confiance. En hébreu, c’est un mot qui a la même racine que amen : la racine qui parle de solidité, de fermeté, de stabilité. »

Source : Jeux et animations en lien avec l’Evangile du dimanche, Année C.

Jardiniers du Seigneur, réjouissez-vous ! Votre labeur est entre les mains de Dieu Il en va de vos efforts comme de votre joie : ils sont infimes et produisent de grandes choses ils sont immenses et laissent la terre stérile Car Dieu seul sait ce qui porte les bons fruits Jardiniers du Seigneur, le Seigneur se réjouit ! De vous voir malgré tout apporter votre graine au grand jardin du monde et faire le pari que rien ne sera vain entre les mains de celui qui fait germer nos lendemains 

Prière du 11 juin 2015 de la théologienne protestante Marion Muller-Colard.

Graines de moutarde
Photo by Joshua Lanzarini on Unsplash

Célébration du 28 août à 11h

Christel

L’évangile du jour débute en prenant soin. Le jour du sabbat, invité à dîner dans la maison d’un chef des pharisiens, Jésus prend soin d’un malade. Mais ni le malade, ni l’assistance ne disent un mot, n’osent aller à l’encontre d’une loi qui empêchait de soigner son prochain, malgré les questions de Jésus : “Est-il permis ou non de guérir un malade le jour du sabbat?”. Les gens étaient occupés surtout à regarder ce qu’il faisait, pour pouvoir l’accuser ensuite, ou à chercher la meilleure place à table.

Enervé, Jésus guérit le malade, le renvoie, puis dit une parabole, (rappelant le texte de Ben Sirac), pour faire comprendre que nous sommes aimés avec nos faiblesses et nos petitesse – comme les petits enfants – et inviter à adopter des attitudes de douceur de cœur, comme lui-même Jésus, à l’inverse des puissants de ce monde.

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Ben Sira 3, 17-18.20.28-29
Psaume 67 (68)
Hébreux 12, 18-19.22-24a
Luc 14, 1.7-14

La célébration sera suivie d’une auberge espagnole à l’église. Apportez de quoi manger ensemble.